

Mon fils m’a appelé 10 fois alors que j’étais en réunion. Je l’ai appelé dès que possible et j’ai été choqué : Fils : “Papa, je ne sais pas quoi faire. Je viens de rentrer à la maison et j’entends maman gémir et crier dans sa chambre.” Moi : “Chéri, es-tu entré dans sa chambre ?” Fils : « J’ai trop peur pour entrer. J’entends des voix masculines à l’intérieur. » J’ai immédiatement appelé ma femme, mais il n’y a pas eu de réponse. J’ai appelé le 911 pour voir s’ils pouvaient arriver plus rapidement. Puis ces pensées me sont venues à l’esprit, souffrait-elle ? Était-il en danger ? Était-il avec UN AUTRE H. Non, je ne pouvais pas penser comme ça. Quand je suis finalement rentré à la maison, je suis entré dans notre chambre, les sirènes de police retentissant en arrière-plan. Et j’imaginais n’importe quoi, mais PAS CE QUE JE VOIS puisque ce n’était pas ma femme mais MOI
…mais MOI, en version papier glacé : une immense affiche grandeur nature de ma tête et de mon torse, collée contre l’armoire !
Ma femme et deux hommes étaient en train de la fixer… sauf que ce n’étaient pas “des hommes suspects”. C’étaient deux décorateurs, venus livrer et installer une surprise pour mon anniversaire.
Elle leur criait dessus parce qu’ils avaient abîmé le mur en accrochant le tableau et que l’affiche avait mal collé. Les « gémissements » que mon fils avait entendus, c’était elle qui râlait et pestait en essayant de repositionner l’image.
Les policiers ont fait irruption juste au moment où l’un des décorateurs tenait ma photo décollée contre lui… ce qui donnait l’impression surréaliste que ma femme était “dans les bras d’un autre homme – moi, en poster”.
Mon fils, qui regardait depuis le couloir, a éclaté de rire en voyant deux policiers médusés face à une version cartonnée de son père.
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